Le Royaume de Dieu est en toi et tout autour de toi

Jésus a dit "Le Royaume de Dieu est en toi et tout autour de toi, pas dans des palais de bois ou de pierre"



Jésus dit "Fend le bois je suis là; soulève la pierre et tu m'y trouveras!"




vendredi 25 juillet 2014

Le portes du Ciel et le Royaume de Dieu


Nouvelle Parole de Dieu

8 / G.E.J . / 18-22

 

Les portes du Ciel et le Royaume de Dieu

 

   Le Seigneur, Lui-même, révèle un enseignement qu'il avait donné à group de gens de différent pays pendant Son ministère terrestre, rapporté dans l'Evangile seulement quelque fragment, à motif de sa longueur et difficulté d'écrire, car en ce temps –là n'avait pas de presse.

 

 Je (Jésus) dis :  «  À présent, il est temps de passer à autre chose. Si l'un d'entre vous veut encore demander quelque chose, qu'il s'avance et pose sa question ; car aujourd'hui, toutes les portes du ciel vous sont grandes ouvertes ! »

1. À ces mots, l'un des Pharisiens convertis s'avança et dit : « Seigneur et Maître, puisque Tu viens de dire que les portes du ciel nous étaient grandes ouvertes... ne pourrions-nous maintenant voir de nos propres yeux ces portes du ciel, afin d'avoir une petite idée de ce à quoi ressemble le ciel - car, par ces portes ouvertes, il doit bien être possible d'en entrevoir une partie ? »

2. Je dis : « Combien de temps devrai-Je encore être avec vous et supporter votre esprit matériel ?! Qui donc est la porte du vrai royaume céleste ? Je suis la porte, le chemin et le ciel mêmes ! Qui M'entend, croit en Moi et aime par-dessus tout le Père en Moi, entre par la bonne porte de toute vie et suit le chemin lumineux qui mène au royaume du ciel, né spirituellement de Mon seul amour et à qui Ma sagesse a donné sa forme lumineuse et vivante.

3. Si vous voulez découvrir le véritable aspect et la véritable essence du ciel, qui est le royaume de Dieu, ne regardez pas vers le haut ou le bas avec vos yeux charnels, mais tournez votre regard spirituel à l'intérieur de vous-mêmes, au plus profond de votre conscience, et vous verrez partout le ciel en quelque point de Mes créations que vous vous trouviez, sur cette terre ou une autre ; car la forme du ciel dépendra pour vous de la façon dont vous aurez mené votre existence selon Ma parole et de vos bonnes actions, et ce n'est qu'à travers votre propre ciel que vous pourrez entrer dans Mon ciel infini et éternel.

4. Vous tous, écoutez bien cela : le royaume de Dieu n'est pas un étalage de fastes extérieurs et ne vient pas à vous sous une forme extérieure : il est en vous et consiste dans l'esprit du pur amour de Dieu et du prochain, et dans la vérité de la vie spirituelle qui en découle ; car celui qui n'a pas et ne perçoit pas en lui l'amour de Dieu et du prochain n'a pas en lui la vie ni la résurrection, qui est le ciel en l'homme, mais seulement le jugement, donc la mort éternelle assurée au lieu de la vie céleste parfaite, la seule vraie vie.

5. Les âmes des méchants survivent sans doute aussi d'une certaine manière ; mais 

ce n'est là qu'une vie apparente comparable à celle de toute matière et à celle de certains animaux qui passent tout l'hiver à dormir dans quelque grotte ou terrier, sans la moindre activité.

6. Si vous songez bien à cela, J'espère que vous ne Me direz plus : Seigneur, montre-nous les portes du ciel et donc un petit peu du ciel même, et puis, montre-nous peut-être l'enfer, afin que cette vue nous détourne plus aisément de tout péché ! Il Me faudrait traiter de sot celui qui Me demanderait cela : car tout homme a en lui le ciel, ou, au pire, l'enfer tout entier, et c'est là qu'il peut les contempler.

7. Celui qui a en lui l'enfer est intérieurement aveugle et sourd, et il ne prendrait jamais conscience de l'enfer en lui si sa conscience ne le rappelait à l'ordre à de rares moments - car une âme devenue diabolique est déjà pour ainsi dire tout à fait morte, à cause du jugement qui frappe toute sa matière.

8. Mais une âme qui, grâce aux bonnes oeuvres accomplies selon Ma volonté, a en elle le ciel, peut parfaitement le percevoir en elle-même en plein jour, et parfois aussi, la nuit, dans des songes lucides. Car les visions de rêve ont été données à l'homme pour qu'il entretienne pendant sa vie terrestre un commerce avec le monde des esprits, esprits d'une nature plus ou moins élevée selon que l'âme, par ses bonnes actions conformes à la volonté divine, aura bâti et littéralement créé en elle-même une part plus ou moins grande du véritable ciel.

9. Aussi, suivez Mes commandements, et vous ne tarderez pas à percevoir en vous la forme et l'essence du ciel. - Avez-vous bien compris maintenant ? »

10. Les Juifs, les Romains et les Indiens répondirent : « Oui, Seigneur et Maître, et nous Te rendons grâce du fond du coeur pour cet enseignement que Tu nous donnes, à nous qui sommes encore tellement aveugles et sourds malgré toutes ces grandes leçons ! Et c'est pourquoi nous Te supplions aussi d'être indulgent pour nos faiblesses ; à l'avenir, nous nous efforcerons de faire en sorte que la sainte lumière que Tu nous dispenses brille davantage et toujours plus clairement en nous. »

Faiblesse de l'homme

 

1. Je dis : « Quoi que vous fassiez, faites-le toujours en Mon nom, car rien de ce que vous ferez sans Moi ne sera utile au salut de vos âmes ! Et, quand bien même vous aurez fait tout ce qui vous est ordonné ou conseillé pour atteindre la vie éternelle, dites-vous et confessez devant tous que vous avez été des serviteurs paresseux et inutiles ! Car Dieu seul est tout en toute chose et fait tout le bien en l'homme.

2. Lorsqu'un homme fait la volonté reconnue de Dieu, il ne le fait pas de sa propre volonté, mais selon la volonté de Dieu ; et ce que la volonté de Dieu accomplit en l'homme, ou même dans l'ange déjà pur, n'est assurément pas l'oeuvre de l'homme ou de l'ange seul, mais de Celui selon la volonté de qui cette oeuvre a été

accomplie.

3. Pour l'homme, oeuvrer pour son salut consiste seulement à faire librement sienne, par amour et vrai respect de Dieu, la volonté divine qu'il a reconnue, et à s'y conformer pleinement. Mais, dès lors, ce n'est plus la volonté de l'homme, mais celle de Dieu qui, en l'homme, fait tout le bien, et le bien en l'homme n'est donc rien d'autre que l'oeuvre de Dieu, et le juste doit le reconnaître dans sa vraie humilité. Car un homme qui s'attribue tout le mérite d'une bonne action montre par là qu'il ne se connaît pas lui-même, et Dieu encore moins, et il est donc bien loin du royaume de Dieu.

4. Aussi, rendez gloire à Dieu en toute chose et agissez toujours en Son nom, et vous aurez en vous l'amour de Dieu. Et avoir en soi l'amour de Dieu, c'est avoir tout pour l'éternité.

5. En outre, retenez bien ceci : quand l'homme transgresse la volonté reconnue de Dieu en faisant le mal, son acte lui appartient pleinement et n'est pas l'oeuvre de Dieu ; car en cela, il n'a pas subordonné son libre arbitre à la volonté reconnue de Dieu, mais n'a fait que s'opposer à celle-ci, et l'on peut donc dire en toute justice que ses mauvaises actions lui appartiennent pleinement. Et c'est précisément par ce mauvais usage qu'il fait de son libre arbitre que l'homme se juge lui-même et fait son propre malheur par son aveuglement.

6. Dans ces choses spirituelles, il en va un peu comme d'un sage général avec les soldats qu'il commande. Les soldats doivent certes affronter par milliers un combat sanglant, mais aucun n'a le droit de se battre autrement que selon les plans du général. Celui qui obéit est heureux au combat ; mais si l'un des nombreux guerriers se disait "Ah, moi aussi, je suis courageux et fort, et je connais l'art de la guerre ! Je combattrai de mon propre chef et gagnerai une couronne !", et s'il quittait alors les lignes de bataille tracées par le général plein d'expérience, il serait autant dire perdu, car il serait très vite pris par l'ennemi et mis à mal. À qui la faute alors ? À lui seul ! Pourquoi n'a-t-il pas fait sienne une fois pour toutes la volonté de son sage général ? Avec les autres, il lui eût été facile de battre l'ennemi. Mais, en voulant être lui-même à la fois soldat et général, il est devenu une proie facile.

7. Et Je suis Moi-même, et Moi seul, un général pour la vie contre tout ce qui en est ennemi. Qui combat sous Mes ordres et selon Mes plans combattra sans peine les ennemis de la vie et les vaincra tout aussi aisément ; mais qui voudra partir en guerre contre eux sans moi, suivant son propre jugement et de son propre chef, sera pris et mis à mal. Et, lorsqu'il sera dans cette cruelle captivité, qui l'en délivrera, si c'est en lui-même qu'il doit chercher et combattre les pires ennemis de sa vie ?

8. Mais si un homme, à Mes côtés, remporte facilement la victoire sur des ennemis nombreux, cette victoire est Mon oeuvre, car il n'a pu la remporter qu'en suivant exactement Ma volonté, Mon dessein et Mon conseil. Et si la victoire est Mon oeuvre, la gloire et le mérite M'en reviennent aussi !

9. J'espère que vous comprenez assez maintenant comment et pourquoi, sans Moi, vous ne pouvez rien faire de méritoire pour le salut éternel de vos âmes, et pourquoi, même lorsque vous avez suivi tous les sages commandements qui vous

ont été donnés, vous devez confesser devant Moi que vous n'avez été que des serviteurs paresseux et inutiles à Mes côtés.

10. Lorsqu'un paysan travaille son champ, il l'engraisse, puis laboure le sol avec la charrue, sème le grain dans les sillons et l'enfouit avec la herse, après quoi il n'a plus rien à faire jusqu'à la moisson. La moisson sera-t-elle donc l'oeuvre du seul paysan, qui en aura tout le mérite, ou ne sera-t-elle pas plutôt du début à la fin Mon oeuvre méritoire ? Qui a donné au paysan les deux boeufs robustes qui tirent sa charrue ? Qui lui a donné le bois et le fer, le grain de blé et son germe vivant ? Qui a mis dans ce germe tant de germes et de grains nouveaux ? De qui vient la lumière du soleil qui réchauffe et vivifie tout ? Qui a envoyé la rosée et la pluie fécondes ? Qui a permis aux épis de croître et de mûrir, et enfin, qui a donné au paysan lui-même vie, force, sens, raison et jugement ?

11. Si vous méditez un peu cette image, ne vous apparaît-il pas clairement à quel point, en cultivant son champ, le paysan a peu oeuvré et eu peu de mérite ? Tout bien considéré, il n'a presque rien fait - et pourtant, il dira peut-être : "Tout cela, je l'ai obtenu par mon travail !" En disant cela, il ne pense pas à Celui-là seul qui a tout fait dans son champ de blé ! Ne devrait-il pas plutôt confesser dans son coeur : "Seigneur, grand, bon et saint Père céleste, je Te rends grâce pour Ta sollicitude ! Car tout cela est et sera toujours Ton oeuvre, et je n'ai été qu'un serviteur paresseux et parfaitement inutile !" ?

12. Et si c'est déjà là ce qu'il convient de dire d'une tâche matérielle, que devra donc dire l'homme que J'aurai aidé par tous les moyens à cultiver le champ de sa vie spirituelle, et qui, en vérité, n'aura rien eu à faire que croire en Moi et s'approprier Ma volonté divine, dont Je lui fais présent comme si elle lui appartenait tout à fait, quand elle est en vérité tout à fait Mienne ! Si cet homme en pleine possession de Ma volonté peut alors tout faire et accomplir tant de grandes oeuvres, à qui en revient le principal mérite ? »

Des lois du Seigneur

 

1. Ils répondirent tous : « Seigneur et Maître, tout, de toute éternité, est Ton oeuvre, et le mérite en revient à Toi seul ! En tout temps et en toute chose, nous ne sommes rien comparés à Toi ! Ton amour et Ta grâce seuls nous ont fait exister et veulent encore faire de nous Tes enfants semblables à Toi ; nous sommes donc nous-mêmes en tout point Ton oeuvre, et c'est à Toi seul que revient le mérite de notre perfection ! Ô Seigneur et Maître, ne nous abandonne jamais ; car sans Toi, nous ne sommes rien de rien ! Que saurions-nous par nous-mêmes de toutes les choses spirituelles, de Toi et de Ta volonté toute-puissante ? Et nos lointains descendants eux aussi Te devront tout, si, comme il est possible, ils comprennent encore tout cela et conservent la pureté de notre foi. Mais Tu sauras bien, Seigneur et Maître, veiller à ce qu'ils ne s'éloignent pas trop de la clarté qui nous illumine à présent ! »

2. Je dis : « À l'avenir comme jusqu'ici, le soin en sera confié aux ouvriers de Mon champ et de Ma vigne ; et tout dépendra beaucoup de l'usage, bon ou mauvais, que vous ferez de Ma volonté. Aussi, quand J'aurai quitté ce corps, prenez bien garde à ne pas laisser la discorde surgir entre vous ; car, en vérité, elle serait mère de l'Antéchrist sur cette terre ! Je vous dis cela par avance afin que vous vous en préserviez. Et vous le ferez sans doute - mais quant à savoir si vos disciples successifs le feront aussi, c'est une autre question, parce que leur libre arbitre doit être respecté tout autant que le vôtre.

3. Ma doctrine vous donne la plus grande liberté, et c'est pourquoi elle ne peut être proclamée par le glaive et dans les sinistres chaînes de l'esclavage ; car ce qui peut et doit donner aux hommes la liberté suprême doit aussi être reconnu et accepté par lui en toute liberté. Et, de même que Je vous aurai donné tout cela pour rien, vous devrez le donner pour rien à ceux qui voudront le recevoir de vous.

4. Ainsi, Je n'ai jamais usé de contrainte envers un seul d'entre vous, mais vous ai appelés en disant : Que celui qui le veut vienne, entende, voie et Me suive ! Et, étant parfaitement libres, vous l'avez fait de votre plein gré. Continuez d'agir ainsi en Mon nom, et vous ferez bonne route !

5. Mais celui qui voudra en faire une contrainte ne sera pas Mon disciple, et son chemin sera semé d'obstacles et d'épines. Vous tous, prenez exemple sur Moi ! Que Me coûterait-il de contraindre en un instant tous les hommes de la terre, par Ma toute-puissance, à embrasser Ma doctrine et à suivre Ma volonté, de même que Je peux dicter exactement à toutes les autres créatures le chemin que Je veux qu'elles suivent ? Mais quelle liberté morale ont-elles pour connaître le vrai bonheur de se déterminer elles-mêmes ? Je vous le dis absolument aucune !

6. Car une intelligence restreinte, qu'une étincelle de Ma volonté en elle peut contraindre à agir, est assurément bien autre chose qu'une conscience que rien ne limite dans aucun domaine, alliée à une raison lucide, à un jugement éclairé, et en outre à une volonté absolument libre à laquelle Je n'ai jamais dicté Mes commandements et Mes conseils paternels sous la contrainte, mais uniquement sous la forme libre du devoir(*) ! Car les commandements que J'ai donnés aux hommes n'ont jamais été des lois, mais des conseils dictés par Mon amour et Ma sagesse éternels, et ce n'est qu'ensuite que les hommes ont cru M'honorer davantage en faisant de ces conseils des lois difficiles à observer, dont ils ont sanctionné la transgression par des châtiments temporels et éternels.

7. Moïse lui-même, et d'autres après lui, a beaucoup fait pour inspirer aux Juifs un plus grand respect de la volonté révélée de Dieu. Mais les Pharisiens actuels ont atteint en cela le summum non seulement de la bêtise, mais de la méchanceté qui en résulte nécessairement. Si la cause des Juifs est aujourd'hui si compromise, c'est la conséquence inévitable de la transformation en lois contraignantes de Mes conseils donnés en toute liberté. Comment la nécessité pourrait-elle se concilier avec le libre arbitre, et avec un jugement également libre, que rien ne doit borner ?

8. Avec son libre arbitre, l'homme admettra certes volontiers, comme une grâce

d'en haut accueillie avec gratitude, que l'on éclaire son jugement ; mais sa volonté et son coeur maudiront toujours la contrainte. C'est pourquoi tout homme soumis à une loi contraignante est pour ainsi dire sous l'effet d'un jugement permanent qui est une sorte de malédiction.

9. Ainsi, ceux qui donneront aux hommes en Mon nom des lois contraignantes leur infligeront le joug et le fardeau de la malédiction en place de Ma bénédiction, et ils en feront de nouveau les esclaves du péché et du jugement.

10. Aussi, quand vous répandrez au loin Mes commandements, veillez avant tout à ne pas imposer aux hommes un nouveau joug lourd à porter, mais au contraire à les délivrer de l'ancien !

11. Quand les hommes reconnaîtront et comprendront librement la lumineuse vérité de Ma doctrine et de Ma très bonne volonté paternelle, ils s'en feront d'eux-mêmes volontairement une loi de nécessité librement consentie à laquelle ils se conformeront, et cela seul pourra contribuer au vrai salut de leur âme, mais jamais, ou très difficilement, une loi imposée, d'abord parce que soumettre le libre arbitre à une loi est contraire à Mon ordonnance et ne fait que rendre l'homme plus ignorant au lieu de l'éclairer, ensuite parce que ceux qui dictent une telle loi usurpent une autorité supérieure qu'ils accaparent, deviennent rapidement fiers, orgueilleux et tyranniques et, en vertu de l'autorité divine qu'ils se sont arrogée et devant laquelle les fidèles doivent trembler plus que devant Dieu même, ajoutent aux règles déclarées purement divines leurs propres mauvais préceptes, qu'ils prétendent être une volonté divine nouvellement révélée et qu'ils font observer bien plus rigoureusement que les commandement purement divins.

12. Viennent alors la superstition et l'idolâtrie, la haine et la persécution des dissidents, les meurtres et les guerres dévastatrices. Dans leur ignorance, les hommes justifient cela par toutes sortes d'absurdités, au point qu'ils finissent par croire qu'ils rendent à Dieu un service agréable en commettant les pires iniquités contre ceux qui ne partagent pas leurs croyances. Et la faute en revient uniquement à ceux qui ont dicté ces lois contraignantes !

13. Mais cela leur vaudra assurément les premières places, et sous la contrainte la plus inflexible, dans cet enfer dont ils auront été les serviteurs zélés : car dans Mon ciel règne seule une suprême liberté, et de là l'harmonie suprême rendue possible par l'amour pur et par la suprême sagesse.

14. À présent que Je vous ai bien montré et clairement expliqué tout cela, vous savez ce que vous aurez à faire librement, sans la moindre contrainte intérieure, quand vous propagerez Mon évangile. Si l'un de vous ou de vos disciples veut agir autrement, il sera mis en garde, mais pour autant, Je ne le contraindrai pas intérieurement. Mais les hommes de bien reconnaîtront bien vite, à ses mauvais fruits, ce qu'est vraiment un tel disciple.

15. Cependant, vous ne devez pas croire qu'en vous disant cela, J'abolis la loi, donnée à Moïse ; au contraire, c'est la même loi que Je vous restitue dans sa pureté originelle, et Je n'abolis que l'ancienne contrainte, devenue caduque, pour vous rendre la liberté première : c'est précisément en cela que consiste essentiellement l'oeuvre de rédemption de vos âmes que Je délivre du joug cruel du jugement et du vrai Satan, le prince bien connu de la nuit et des ténèbres, afin essentiellement l'oeuvre de rédemption de vos âmes que Je délivre du joug cruel du jugement et du vrai Satan, le prince bien connu de la nuit et des ténèbres, afin que vous n'ayez plus jamais à être soumis en Mon nom à aucune loi contraignante.

16. Et faites en Mon nom à vos frères ce que Je fais à présent en vous rendant de Moi-même toute votre liberté. Baptisez-les au nom de Mon amour éternel, qui est le Père, du Verbe, qui est le Fils incarné du Père, et de Son esprit de toute vérité, et effacez par là en eux le vieux mal originel, qui est l'aspect contraignant de la loi, dont vous savez à présent qu'il faut le condamner. - Et maintenant, dites-Moi tous si vous avez compris cela. »

N. B.  Si les mails de révélations divines ne sont pas de votre gré et vous voulez couper la réception des mails, il suffit le communiquer et votre adresse sera supprimé tout de suite.  Mais pour ceux qui veulent approfondir la connaissance divine consultez  les sites internet : http://fr.groups.yahoo.com/group/SAGESSE-DIVINE    http://fr.groups.yahoo.com/group/Chemin_Interieur

 


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Joseph Russo

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